Annoncer la prophétie perdue

Le Parasite du satellite en mémoire d’une mésaventure prophétique

Sur le terrorisme je n'ai pas tout écrit. Mais je ocntinue aujourd'hui. Voici ce que, j'avais déjà fait, lorsque j'avais 43 - 9 ans (en 2009, au cours de mes 34 ans) :

J’ai pas toujours été très sage mais mille mots valent mieux qu’une image.

Si la parole brise le silence, mon naufrage n’est bien qu’une apparence!

Parfois un mot fait des ravages, c’est pour ça qu’je suis encore en cage.

‘À qui l’ dis-tu, c’est ambigu, j’voudrais pas vivre ça moé non plus.’

J’suis parti autour d’la planète, j’arrivai dans une ville déserte,

J’en suis pas revenu encore, faut que j’largue tout c’que j’ai à bord!

Je sombre dans un profond ravin et ma nuit tourne au lendemain;

Voudrais-t’on me prêter main forte que nous fuirions par la même porte?

Road to an end, finally friend ! Just call me over the week-end…

Voici la fin cynique d’un homme qui, bien que dramatique, a poussé le drame de sa vie dans un déboire exempt d’antécédents. La question que je me pose à l’instant, moi votre narrateur, c’est qu’en voyant le sarcasme se dégageant de ces propos largement fatalistes, je me dis : a-t-il survécu à cette tragédie, ou ce délire n’est-il que pure folie?

Enfin qu’est-ce qu’il a bien pu dire avant de littéralement crouler dans ces sombres an-goisses telles qu’elles nous apparaissent? Nous en saurons plus long à la suite de ce texte.

« La nuit s’achève et je me fortifie. Une autre journée inconnue m’attend au tournant de la ville. Le jour se lève mais je me mortifie, qu’est-ce que je vais encore causer comme tourments? Le soleil plombe et tout me glisse entre les mains comme si depuis longtemps déjà s’était-il préparé à pleuvoir quand soudain, je porte à l’apogée une œuvre qu’il m’avait été donné d’accomplir comme rétribution du sort, en ce temps. C’est difficile à croire, mais voyez vous-même l’arc-en-ciel qui luit au bout du chemin?

Je vous explique...

J’ai passé la nuit à combattre, dans mon appartement! Oui c’est la guerre, une forme de guerre, mais pas nucléaire. C’est une guerre de l’Esprit comme il est écrit dans Zacharie 4, et je combat avec les armes de la vérité, de la foi, du salu,t et de l’espérance, comme il est dit dans Ésaie et dans les Épîtres de Saint Paul. Non ce n’est pas une guerre mystique mais c’est une oeuvre œcuménique. Du moins ça en a pris la tournure un moment donné.

Tout a commencé à ma fête de 33 ans. Il paraissait que notre 33^ième année était remplit d’échecs et de coups durs; enfin selon mon ex petite amie. En ce jour du 4 mars 2008, j’en avait même oublié mon prénom je vous le jure. Je ne sais pas trop ce qui s’est passé, mais je me suis comme réveillé en plein cauchemar. Mon ami Richard me racontait toutes sortes de faits bizarres à propos des murs, des fenêtres, d’un couloir caché, et de chiens de garde.

On était tous les deux pris dans mon appartement, en train d’essayer de raisonner la situation, et on entendait toujours des va-et-vient dans le corridor menant chez le voisin, si bien qu’on ne pouvait même pas savoir avec exactitude qui et combien de gens se ramassaient là, dans une soirée. Souvent on entendait l’arrivée de gars avec des chiens voraces, grognant sur leur passage, et on ne les entendait jamais, ou presque jamais, repartir. Avant de perdre le contrôle de la situation, ou de tout simplement perdre la raison on a pris des tours de garde pour pouvoir dormir en une quelque sorte de quiétude.

À mon éveil, le lendemain, Richard me racontait quelque, autres faits, bizarres, au sujet de ce qui s’était passé durant la nuit précédente, et il me faisait part de quelques analyses qui me permettaient de comprendre les faits plutôt mystérieux concernant le propriétaire et son ouvrier, qui étaient passés faire des rénovations durant le mois de février. En bout de ligne on a commencé à croire que l’on étaient, ou plutôt que j’étais, en danger! Comme j’avais eu des sortes de menaces de mort non pas directement, à ma porte mais, alors que j’étais seul dans mon appart au travers des mors, à la fin du mois précédent, nous avons décidé de prendre la fuite alors que ça commençait à devenir plus chaud. On s’est donc retrouvés dans les rues de la ville perdus en pleine tempête de neige, soit le 8 mars 2008 à 16h00, à Drummondville et à ne pas savoir où se réfugier, ni si l’on allaient pas se faire suivre partout! Comme Richard me disait qu’il était suivi aussi depuis plusieurs années par des gangs comme dela, ça ne me rassurait pas du tout. On a donc séparé nos chemins, alors que je partis à toute jambes je ne sais où, et sans provisions, sans même vraiment savoir où aller. Seulement ma survie était le moteur de ma direction.

Le 08 mars 2009, l’année suivante à 12h00, le dimanche.

Je suis en route vers le Maxi, l’épicerie la plus près. Hier, j’ai commencé à faire un petit ouvrage de peinture chez ma mère, et elle m’a donné 5$. J’ai pris un peu de change, et je m’achète un pot de chocolatine, une bouteille de liqueur et une gousse d’ail. J’entends quelques voix mais rien qui se dit à mon sujet, au sujet du combat. À la caisse, je vois la couverture du Journal de Montréal concernant un pédophile. Je paie et je m’en retourne chez moi, sans contrainte.

12h30 Richard vient cogner à ma porte. Nous habitons maintenant tous les deux dans la même maison de chambre, au 294 de la rie Ringuet. Ici, c’est probablement la troisième prison sociale du triangle, à Drummond!

On commence à parler de l’annonce sur les autobus de Montréal qui disent : ‘’Fiew! Dieu n’existe pas...’’ Or, comme Richard a vu cela à la télévision, on sait que ce n’est pas une annonce de publicité mais bien un simple slogan, toutefois que de la propagande. Bien que non revendiquée, et probablement le faite d’un groupe anti-social, pour nous c’est une forme de contrôle social. Tout de même imposant! Puisqu’ils se présentent au sein d’un service de la municipalité, ils doivent donc être commandités.

Puis on enchaîne avec ce cas du gars qui joue dans des émissions pour les adolescents et qui s’est fait prendre ayant sur son ordinateur personnel des photos de juvéniles prati-quant la prostitution, soit pour en faire la vente selon les informations. Sur la première page du Journal, que j’ai vu à l’épicerie il est écrit : « Malgré mes accusations, je veux participer au gala Mérite Artis ». Voyez-vous l’enjeux? Comme la juge qui s’affairait à cette cause a affirmé qu’il a été mis en libération conditionnelle, suivant la mesure stricte de ne pas se trouver en possession ni d’utiliser un ordinateur, je trouve que c’est injuste puisqu’on se sert des droits de l’homme pour faire droit à des criminels. Mais pendant que on met aussi des justes en prison. C’est le monde à l’envers! Or, je veux voir cet homme derrière les barreaux, et pour longtemps car avec les propos qu’il soutient, malgré ses accusations, cet homme fait de la publicité pour des kidnappeurs d’enfants, et essaierait même sans le savoir de cacher son crime, par des illusions. Il devrait plutôt servir de témoignage, afin que la justice soit faite dans le sens de la loi et que l’on n’accepte pas les pots de vin moyennant caution pour libérer des criminels. Il devrait donc acepter sa culpabilité, et ce en faveur des droits des hommes de bien car si l’on fait droit aux prisonniers, les justes qui sont dans la société paient pour ces crimes.

Ceux qu’on fait à nos dépends lorsque trop souvent, même aux dépends de nous et de nos enfants, notre ignorance entretient ainsi le cycle de l’assuétude. Voir Isaïe 10, 1-2.

« Malheur à ceux qui décrètent des décrets d’iniquité, qui écrivent des restricts d’oppres-sion pour priver les faibles de justice et frustrer de leur droit les humbles de mon peuple, pour faire des veuves leur butin et dépouiller les orphelins. »

Puis, moi et Richard raisonnions ainsi : « C’est l’apostasie. Les prêtres ne parlent pas de l’apocalypse, ni du retour de l’Esprit de Vérité promis par le Père. Tout le monde abandonne la religion. » L’État cautionne donc ainsi le crime organisé. Et quand des justes comme moi et Richard vivent des problèmes, la justice nous refuse notre cause. Nous sommes laissés-pour-compte. (Voir aussi Ephésiens 1,13; Jean 7,19 et Jean 16,13).

Les vedettes, quand elles se font prendre en délit, comme pour de l’alcool au volant, elles se défendent des accusations en disant que si on les arrêtent, elles qui se représentent comme étant la volonté du peuple, qu’est-ce que les gens pourraient leur dire? Ceci peut être confirmé par les faits. Or s’ils sont pris en délit ils doivent payer comme les autres. Et comme ce n’est pas le peuple qui décide quelles vedettes ils veulent voir sur leur écran, cela est tel que de dire que le client n’a pas toujours raison. Donc si on ne fait pas justice pour les justes, qu’est-ce que les gens vont dire de leur justice alors qu’on voit les criminels à l’écran? Ainsi le droit social est aliéné du peuple parce que les autorités comme les élites fricotent avec des criminels. Cela peut prendre une proportion allant même jusqu’à grande échelle… Il est donc temps de redresser la barre que la justice, et cela bien plus au ressort des bons citoyens, à la place de la justice qui est pour le peuple.

J’ai récemment aussi lu à ce sujet un livre sur l’usage du crime dans la mondialisation¹. On y parle d’une société fractale où les élites sont corrompues parce que c’est le marché qui fait la loi par des agents politiques et ce depuis que le clergé s’est retiré de la volonté publique, dans un repli de l’État Nation où l’État Providence qui, tout comme un repli identitaire, connaît aujourd’hui la mondialisation des communications par l’émergence de cellules de contrôle social, dirigées par les criminels, mais sans la vérité. Contrôler les gangs par le fait de la transgression des normes, motivés économiquement alors que la pauvreté, dont la transgression fait la tendance naturelle, les laissés-pour-compte dont nous entretient aussi ce livre nous explique les faits et effets de la déréglementation.

Les criminels contrôleraient ainsi le plan politique par la pauvreté et les transgressions.

Mais : « Notre Père qui est aux cieux, que Ton nom soit sanctifié, que Ton règne vienne, et que Ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel... »

Les justiciers qui nous écoutent et qui ne font rien sont comme ces gens qui ont été appelés aux noces mais qui ont refusé l’invitation. De plus, comme ils savent qu’ils sont fautifs tant ils refusent de nous entendre et se servent de la loi pour nous compromettre, ils ne seront jugés que plus sévèrement. Et comme le disant Jean le Baptiste; « Lui, Il vous baptisera du Saint-Esprit et par le feu! Son fléau à la main, il nettoiera son aire et brûlera la paille dans un feu qui ne s’éteint point! »

Ainsi, lorsque moi-même je ne serai plus de ce côté-ci du monde, ce texte survivra en fait de témoignage, contre ceux qui ne se repentent toujours plus et qui nous refusent la jus-tice éternelle, tel que notre Père du ciel le souhaite. Ils n’en seront jugés que plus sévère-ment selon leurs propres œuvres… Mais que Dieu révèle à tous le cœur de son message, à la face de toutes les nations. Amen! Fin d’un premier combat.

Sur le délire auquel nous sommes en proie à la loi du silence :

Il est interdit de parler

-Quelqu’un doit parler;

Mais je suis obnubilé de méfiance

-Je suis aliéné de ma propre conscience;

Je dois me taire et ne rien faire

-Je dois attendre le jour de ténèbres, et non de lumière, pour voir clair;

Je dois retenir mon souffle à chaque fois que je respire

-J’entends le bruit du silence et doit prier à outrance;

Je n’ai plus conscience de mes actes car je dois tout réprimer

-Il n’y a rien à faire mais ma foi persiste; elle qui se transforme jusqu’à la folie...

Je crie à laide dans un torrent, noyé de ces tourments

-Personne ne me venant en aide, alors cela doit seulement être un mauvais rêve, éveillé!

Je suis donc venu faire une distinction, parmi la multitude et le monde...

Mais c’est comme cela que l’on brise le silence parfois …

Sur l’effusion de l’Esprit : Isaïe 32, 15-20. Jusqu’à ce que se répande sur nous l’Esprit d’en haut, et que le désert devienne un verger, un verger qui fait penser à une forêt. Mon peuple habitera dans un séjour de paix, des demeures superbes, des résidences altières. Dans le désert s’établira le droit et la justice habitera le verger. Le fruit de la justice sera la paix, et l’effet de la justice repos et sécurité à jamais. Et si la forêt est totalement détruite, si la ville est gravement humiliée, heureux serez-vous de semer partout où il y a de l’eau, de laisser en liberté le bœuf et l’âne.